Un établissement engagé dans une démarche durable
Convaincus que l’intégration du développement durable favorise l’amélioration de la qualité d’accueil, les directeurs de l’Hôtel Le Toiny ne ménagent pas leur peine pour offrir des améliorations diverses et variées. Choix méticuleux de la couleur des luminaires de basse consommation, utilisation de peintures à l’eau à l’intérieur des chambres et bâtis, utilisation de produits de lavage et d’entretien bio, mise en place de panneaux solaires et de pierre de lave pour chauffer écologiquement l’eau des piscines… Autant d’éléments qui démontrent la volonté de l’établissement de s’engager dans une démarche concrète et de se démarquer de la frilosité ambiante qui règne au sein de l’hôtellerie internationale.
Un remarquable potager bio avec 500m2 de serres
Situé à quelques encâblures de l’hôtel, un potager permet d’introduire dans la carte du restaurant une grande variété de fruits, légumes et plantes aromatiques biologiques. Fort de ce succès, l’établissement n’a pas hésité à étendre la surface des serres de 100 m2 à 300m2 puis 500m2 et ce n’est pas fini ! Plus d’une vingtaine de fruits et légumes y sont récoltés : tomates, carottes, poivrons, betteraves, radis, maracuja, herbes aromatiques, etc…
Des activités de découvertes du patrimoine marin et culturel
Diverses activités sportives et culturelles sont proposées aux résidents de l’Hôtel afin de mieux découvrir St Barthélemy, son histoire, son patrimoine naturel et sa biodiversité.
Les plus sportifs peuvent s’adonner au surf sur le spot idéalement situé en contrebas de l’hôtel qui prête des planches pour l’occasion. Il est possible de randonner ou de jogger sur la multitude des sentiers qui serpentent dans les environs. Les activités nautiques classiques telles que plongée, snorkeling ou kayaking sont proposées.
On notera l’excellente relation que Guy et Dagamar Lombard entretiennent avec Hélène Bernier, guide animatrice de la société EasyTime et présidente de l’association environnementale St Barth Environnement. Hélène propose aux clients de l’hôtel de leur faire découvrir St Barthélemy autrement : sa nature merveilleuse, ses itinéraires pédestres secrets, ses points de vue exceptionnels, sa faune, sa flore, son patrimoine artistique, historique et culturel.
Deux fois dans l’année, Félix Lurel, naturologue, séjourne à l’hôtel et transmet ses riches connaissances aux clients via des conférences orientées sur différents thèmes.
Un témoignage du passé toujours d’actualité
Au fond de la baie de Toiny, au bord d’une magnifique plage de sable blanc, se trouvent deux petites cases construites en corail par les premiers occupants de St Barthélemy.
Les directeurs de l’Hôtel Le Toiny, Guy et Dagamar Lombard, ont décidé de restaurer avec le plus grand respect qui soit, cet habitat qui plonge les visiteurs dans le passé en leur faisant partager un peu la vie des premiers colons.
Des panneaux solaires et une éolienne sont dorénavant utilisés pour électrifier le site et une partie de la plage attenante. La citerne à eau de pluie a été restaurée et a retrouvé sa fonction initiale. Un mortier de chaux au sol et sur les murs intérieurs redonne le lustre et l’ambiance d’antant. Un trait d’union symbolique entre le passé et les nouvelles technologies durables que nos sociétés cherchent à développer. Cette énergie solaire transformée et stockée permet, le soir venu, de créer l’atmosphère lumineuse nécessaire à la mise en scène de concerts sous les cocotiers qui bordent la plage de sable blanc.
Un paysage marin majestueux
L’hôtel est implanté dans un site à la nature sauvage et exubérante qui invite à s’immerger et à se perdre pour se sentir en harmonie avec la faune et la flore.
En empruntant le doigt de terre volcanique qui pointe en direction de la mer, vous pouvez imaginer la frontière entre l’Océan Atlantique et la Mer des Caraïbes. Avec un peu de chance, il est possible d’assister à des scènes de chasse exceptionnelles où des bancs de poissons frétillants et étincellants sont pourchassés sous l’eau par des carangues, wahoos ou barracudas et en surface par les Pélican, Fous Bruns, Sternes Royales ou Frégates qui les repoussent vers le rivage… Les faibles profondeurs d’eau leurs sont alors fatales.
La houle venue du large ne demande qu’à s’amplifier au moindre souffle des alizés, les rouleaux deviennent alors source de jeu pour les meilleurs surfeurs de l’île. Vous y verrez les crêtes des vagues s’envoler dans le vent et disparaître dans un arc en ciel de couleurs irisées.
La magie d’une flore multicolore acclimatée à l’océan
Par un étroit sentier, vous parcourez le contour de la pointe Toiny, au milieu d’une flore exceptionnelle : parmi les étendues de Cactus Cierge (Pilosa Cereus Royenii), fleurissent les Têtes à l’Anglais à une ou plusieurs fleurs, dont le fruit a le goût de l’airelle, les Stapelia Gigantea dont la fleur magnifique rappelle l’étoile de mer ou les Cactus Raquette à fleurs rouges.
Vous remontez le temps en côtoyant les Gaïac (Guaiacum officinale), chargés de leurs fruits écalartes, dont le bois très dur était utilisé par les premiers arrivants de l’île pour construire de solides cases susceptibles de résister aux foudres des tempêtes tropicales, ou pour réaliser les réas des poulies des voiliers. Vous découvrez également les Poiriers Pays (Tabebuia Pallida) dont la qualité du bois est réputée, ou les Bois Nivrés (Piscidia piscipula) dont les feuilles étaient utilisées par les pêcheurs pendant des siècles pour empoisonner les poissons dans les nasses.
Puis vous vous laissez ennivrer par l’incroyable palette de couleurs des fleurs qui embaument les lieux : l’Hibiscus dont le jaune pâle vire en quelques heures au rouge écarlate, le Calotropis mauve qui se hazarde sur la plage à proximité des rouleaux de la houle, le Tabebuia pallida dont la fragile fleur rose pâle détonne dans cet univers minéral aride… Vous surprenez quelques fleurs nocturnes sur les Cactus Cierge qui n’ont pas encore succombé aux premiers rayons du soleil.